MONTEE AU PLATEAU SOMMITAL
La Soufrière fait partie d'un complexe volcanique comprenant la Grande Découverte (200 000 à 42 000 ans) , le Morne Carmichaël (42 000 à 11 500 ans). L'activité "Soufrière" démarre il n'y a en fait que 8 500 ans et le dôme a 465 ans !
Elle est encore jeune par rapport au reste du massif.
Grimpette un peu raide pour atteindre le plateau sommital, et, parfois, il y a beaucoup de monde !
La Soufrière fait partie d'un complexe volcanique comprenant la Grande Découverte (200 000 à 42 000 ans) , le Morne Carmichaël (42 000 à 11 500 ans). L'activité "Soufrière" démarre il n'y a en fait que 8 500 ans et le dôme a 465 ans !
Elle est encore jeune par rapport au reste du massif.
Grimpette un peu raide pour atteindre le plateau sommital, et, parfois, il y a beaucoup de monde !
Il y a peu on pouvait faire le tour du plateau. C'est maintenant fermé à cause des poches de gaz et des émanations acides.
ATTENTION - CETTE ZONE EST ACTUELLEMENT INTERDITE
| Depuis le sommet, on pouvait redescendre pour faire le tour du cratère (3) en passant par la Porte d'enfer, gardée par la "guenon",  puis vers le Gouffre Tarissan qui dégage de plus en plus de fumerolles et qui est sous surveillance. C'est là que notre explorateur, le docteur Tarissan, perdit la vie.   Un peu à l'écart, le Cratère Sud toujours aussi captivant, crache beaucoup de gaz. Ses bouches soufrées changent souvent de place .   Un équipement est nécessaire aux géologues   Pour mieux voir les ananas montagne jaunes et rouges, nous passons par le Piton Napoléon. ICI de nouvelles fumerolles importantes et dangereuses INTERDIT   |
Mais à droite, un peu d'escalade nous mène au refuge des Montagnards, inauguré en 1935,
et enfin, au sommet "La Découverte" à 1467 m.
C'est le point culminant des Petites Antilles et, comme d'habitude, le vent souffle très fort.
Si le temps est dégagé, la vue est sublime... (3)
Les éruptions de ce volcan furent de types très variés mais la dernière ( 1976/77) fut de type phréatique, explosive et sans lave.
Nous redescendons par le même chemin et nous prenons maintenant le Chemin des Dames.
La végétation est plus basse. Elle a souffert de l'éruption de 1976, les sols étant devenus très acides. Des effluves de souffre noircissent les branches des arbustes. La vue est superbe au dessus du moutonnement des verts.
Nous sommes encore au dessus de 1000 m dans les savanes d'altitude dont le roi est le Mangle montagne.
Il est accompagné de Bois guillaume, Côtelette montagne..., Trompette à canon, Ortie grand bois ou Herbe à miel ...,une orchidée terrestre très commune, la Spathoglottis plicata.
La végétation est plus basse. Elle a souffert de l'éruption de 1976, les sols étant devenus très acides. Des effluves de souffre noircissent les branches des arbustes. La vue est superbe au dessus du moutonnement des verts.
Nous sommes encore au dessus de 1000 m dans les savanes d'altitude dont le roi est le Mangle montagne.
Il est accompagné de Bois guillaume, Côtelette montagne..., Trompette à canon, Ortie grand bois ou Herbe à miel ...,une orchidée terrestre très commune, la Spathoglottis plicata.
L'éboulement Faugeas, aux parois couvertes de sphaignes vert clair, abondamment gorgées d'eau , est une faille née de l'éruption de 1798.
La Grande Faille, de direction nord, elle, sépare le volcan en 2 blocs.
Des panneaux jalonnent la descente de leurs apports pédagogiques.
Continuant notre descente, nous découvrons sur la droite, la ville de Baillif et, derrière nous, le Nez Cassé, aux flancs bien à pic.
Arrivés à la Savane à Mulets (où des forages sont en cours), on peut redescendre par le pas du Roi ou par la route (déconseillé)
Mais par l'ancienne route (6) vous pourriez voir, sous les Magnolias et les Côtelettes rouges, quelques orchidées.
